L'association propose un projet alternatif
Si Les Pieds sur Terre s'opposent au projet téléphérique,
c'est parce qu'il est tout à fait inadapté.
Mais il ne s'agit pas de s'opposer sans proposer...
Dans cet esprit, l'association a réfléchi à des solutions alternatives facilement réalisables à court terme, car engendrant une dépense comparativement modeste de l'argent public.
La commission études de l'association a mis en évidence la possibilité d'aménager une voie réservée aux bus sur plus de la moitié du trajet Uriage-Gières Après repérage précis sur le terrain avec un spécialiste du génie civil, nous avons défini trois tronçons (de respectivement 1,3 km , 1,2 km et 700m) sur lesquels une voie réservée aux bus peut être créée :
- sans terrasser en déblais dans la montagne (aucun risque de glissement ni d'éboulis),
- sans toucher aux habitations (le hameau du Sonnant n'est en particulier pas touché),
- en maintenant la piste cyclable tout au long du trajet,
- sans détourner ni recouvrir la rivière du Sonnant.
Le dispositif doit s'accompagner d'un déclenchement automatique de feux par le bus de façon à bloquer les voitures pour lui permettre de sortir de sa voie et de circuler facilement.
Les véhicules automobiles sont assez peu pénalisés par ce système puisque le bus viendrait à chaque fois s’insérer avec un minimum de gène dans le flux de circulation. Il ne s'agit en aucun cas de créer une voie nouvelle pour les voitures, car chacun sait qu'une voie supplémentaire appelle d'autres véhicules et conduit rapidement à une nouvelle saturation du trafic.
De plus, nous étudions, une optimisation de la gestion des feux installés à la sortie de leurs habitations d'une part et des feux situés au croisement de la rue Victor Hugo et de la rue du Repos à Gières. Des améliorations doivent être apportées de façon à fluidifier le trafic à ce niveau.
C'est une demande forte de nos adhérents et des habitants de Saint Martin d'Uriage. Il est à noter d'ailleurs que, pour beaucoup, ces feux sont une cause essentielle des ralentissements.
Cette étude est menée dans la perspective de l'aménagement du giratoire prévu dans la Combe de Gières au niveau du Pont de Venon. Nous réfléchissons également à la sécurisation de la Combe pour les piétons.
Dans un même temps la mairie de Gières a installé dans la Combe des "super-ralentisseurs", LPST n'était pas favorable à ce projet.
Aujourd'hui :
- La circuilation est encore plus difficile dans la Combe d'Uriage,
- Les Saint-martinois voient leur temps de trajet rallongé chaque matin,
- Les navettes de bus, mises en place par la mairie de SMU sont prises également dans les embouteillages, et sont devenues inefficaces.
Le projet de troisième voie en site propre pour transport en commun que nous proposons est plus que jamais nécessaire. Il vient s'inscrire avec logique dans la politique actuelle de circulation mise en place dans l'agglomération grenobloise : création de voies propres sur l'ensemble du centre ville de Grenoble, sur l'autoroute Grenoble-Voreppe, sur l'avenue de verdun à Meylan...
Ce projet a en outre le mérite d'être réaliste, d'un coût raisonnable et réalisable à court ou moyen terme.
c'est parce qu'il est tout à fait inadapté.
Mais il ne s'agit pas de s'opposer sans proposer...
Dans cet esprit, l'association a réfléchi à des solutions alternatives facilement réalisables à court terme, car engendrant une dépense comparativement modeste de l'argent public.
La commission études de l'association a mis en évidence la possibilité d'aménager une voie réservée aux bus sur plus de la moitié du trajet Uriage-Gières Après repérage précis sur le terrain avec un spécialiste du génie civil, nous avons défini trois tronçons (de respectivement 1,3 km , 1,2 km et 700m) sur lesquels une voie réservée aux bus peut être créée :
- sans terrasser en déblais dans la montagne (aucun risque de glissement ni d'éboulis),
- sans toucher aux habitations (le hameau du Sonnant n'est en particulier pas touché),
- en maintenant la piste cyclable tout au long du trajet,
- sans détourner ni recouvrir la rivière du Sonnant.
Le dispositif doit s'accompagner d'un déclenchement automatique de feux par le bus de façon à bloquer les voitures pour lui permettre de sortir de sa voie et de circuler facilement.
Les véhicules automobiles sont assez peu pénalisés par ce système puisque le bus viendrait à chaque fois s’insérer avec un minimum de gène dans le flux de circulation. Il ne s'agit en aucun cas de créer une voie nouvelle pour les voitures, car chacun sait qu'une voie supplémentaire appelle d'autres véhicules et conduit rapidement à une nouvelle saturation du trafic.
De plus, nous étudions, une optimisation de la gestion des feux installés à la sortie de leurs habitations d'une part et des feux situés au croisement de la rue Victor Hugo et de la rue du Repos à Gières. Des améliorations doivent être apportées de façon à fluidifier le trafic à ce niveau.
C'est une demande forte de nos adhérents et des habitants de Saint Martin d'Uriage. Il est à noter d'ailleurs que, pour beaucoup, ces feux sont une cause essentielle des ralentissements.
Cette étude est menée dans la perspective de l'aménagement du giratoire prévu dans la Combe de Gières au niveau du Pont de Venon. Nous réfléchissons également à la sécurisation de la Combe pour les piétons.
Dans un même temps la mairie de Gières a installé dans la Combe des "super-ralentisseurs", LPST n'était pas favorable à ce projet.
Aujourd'hui :
- La circuilation est encore plus difficile dans la Combe d'Uriage,
- Les Saint-martinois voient leur temps de trajet rallongé chaque matin,
- Les navettes de bus, mises en place par la mairie de SMU sont prises également dans les embouteillages, et sont devenues inefficaces.
Le projet de troisième voie en site propre pour transport en commun que nous proposons est plus que jamais nécessaire. Il vient s'inscrire avec logique dans la politique actuelle de circulation mise en place dans l'agglomération grenobloise : création de voies propres sur l'ensemble du centre ville de Grenoble, sur l'autoroute Grenoble-Voreppe, sur l'avenue de verdun à Meylan...
Ce projet a en outre le mérite d'être réaliste, d'un coût raisonnable et réalisable à court ou moyen terme.